Le feu, en maintenance, du môle des (veuves) Noires et derrière, le Petit Bé.
Cézembre, l’île martyr de la seconde guerre mondiale. Tellement bombardée à cause des blockhaus et canons nazis et italiens qui s’y trouvaient qu’elle n’est pas encore totalement débarrassée de toutes les bombes et munitions qui l’ont martelée sans toutes exploser. Son utilisation a alterné entre le calme (promenades dominicale dans les années 1920/30) et le sordide : elle était déjà une place forte à l’époque celte et abritait un monastère et au moins une chapelle aux XV et XVIe s (puis colonie pénitentière au XVIIè). le nom qu’on lui a donné a varié : St ambre, St Zambre, Cézambre.
Au fond le fort de la Conchée. Au-delà du feu du môle des Noires, l’île du Grand Bé sur laquelle se trouve le tombeau de René de Chateaubriand.
La passerelle rouillée du quai des ferries
Shangaïé III pêcheur de coquilles
la rade de St Malo impressionne par tous ces îlots, îles et forts. La passe d’entrée – le chenal – parait simple dans sa droiture mais elle est par endroit large d’à peine 200 m : à marée basse, comme ici, tous les bateaux, même les petits bateaux de pêche, doivent passer derrière Cézembre, contourner le phare du Grand Jardin (pas visible ici) à bâbord et les deux tourelles vertes (de Buron et des courtis) à tribord.