4 mois après la dernière visite, nous décidons de retourner au Boël car la Vilaine est en crue. Qui sait si nous aurons bientôt encore la possibilité de nous balader comme bon nous semble ? Car on parle de plus en plus de cette épidémie qui sévit en Chine et qui semble aussi monter en puissance en Italie.
Cette fois nous décidons d’y aller par l’autre rive, la gauche. Le chemin de halage est inondé.
Les gens sont plus rares que la dernière fois. C’est pour cela sans doute que cette jeune femme nous a bien vus sur l’autre rive et peut-être même a-t-elle vu que je dirigeais mon objectif vers elle.. Deux kayakistes profitent de la quantité d’eau et du débit pour éprouver leur force à remonter le courant le long des rives..
Toujours est-il que le moulin est bien toujours là, fidèle au rendez-vous que nous lui avons donné, et pas submergé. Son étrave de bateau fait merveille dans le courant.
En ce début mars les premiers bourgeons pastillent certains arbres de vert tendre et les falaises au loin sont violette.
Un jour – en semaine pour éviter la foule des dimanches – nous devrions venir pique-niquer juste au bord de l’eau, mais pas aujourd’hui.. car nous n’avons apporté ni nos bottes ni notre pique-nique et avons pris de la hauteur, avons grimpé les falaises de schiste rose… et nous ne sommes pas tout à fait les seuls.
Très intéressant !
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Merci, et ce n’est pas tout à fait fini.
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