La Pointe de la Malouine (et Dinard en général), je l’avoue, me pose un problème : moi qui me dis que chacun a droit à sa « place au soleil », que « tout le monde » doit pouvoir jouir des « loisirs en bord de mer », j’avoue que je trouve ceci bien plus beau que beaucoup de « campings » de « mobil-home » (qui, d’ailleurs, devraient s’appeler « immobil-home ») qui défigurent les bords de mer durablement, comme les « parkings » de « camping-cars » qui, eux, au moins ont l’avantage d’être éphémères, ou tout au moins renouvelés chaque jour… Bien sûr il existe nombre de campings discrets, cachés par la végétation, bien intégrés dans l’environnement et qui ont permis à beaucoup de gens modestes de profiter de la mer, mais aujourd’hui les campings sont plus chers et les gens modestes ne partent plus vraiment en vacances. La classe moyenne modeste tente de s’acheter un mobil home… Ici ce sont les happy fews, la « crème de la crème », l’aristocratie ( d’abord américaine puis anglaise), l’élite financière, économique et des promoteurs parisiens (Auguste Poussineau ou un homme d’affaires et homme politique comme Jean Hennessy, des cognacs), qui ont fait construire à la fin du XIXè s. L’une des dernières incarnations de cette dynastie d’affaire présente à Dinard est François Pinault qui achète pour une dizaine de millions d’euros la villa Greystones (hors cadre à droite de la photo). De gauche (!) à droite : les Roches Brunes, Ker An(n)ick & Vélox (dans laquelle on peut louer un appartement pour 80 euros la nuit), Cézembre (Port Salut)
Alain, je vous ai écris un mail mais celui-ci n’a pas été livré. J’ai dans mes contacts plusieurs adresse mail à votre nom. Laquelle dois-je utiliser ?
C’était notre promenade préférée avec la Quike le dimanche à St Malo :
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