La Villa Richelieu, lorsque je l’ai vue pour la première fois, était une demeure vide, inoccupée. Une étroite (en profondeur) façade face à la mer flanquée de 2 tours carrées entre lesquelles s’étale un toit terrasse, le tout en pierre calcaire. Un terre-plein devant jusqu’au bord de l’eau formant une sorte de petit port privatif dont on voit ici les éléments pour remonter une embarcation. Lors de la tempête de décembre 1999, des blocs de pierre d’1m50 sur 40 cm pesant plusieurs centaines de kilos ont été déplacés par les vagues sur plusieurs mètres vers la maison. Quelques temps plus tard une construction a été collée à la Villa, la privant de sa silhouette unique d’où la vue sur la mer et l’île d’Oléron est magnifique.